✨ This statue, known as the “Lady of Trikomo”, dates from the mid-6th century BC. 🌎 Let’s inspect the works of the museum with #LouvreDetails! Today, focus on this sculpture from the Department of Near Eastern Antiquities. Le luxe de la parure, symbolisant la séduction féminine, est associé à l'élément naturel dont la déesse assume chaque année le renouvellement et la fertilité.
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🌱 L'aspect le plus remarquable de cette "dame" réside dans la richesse excessive de sa parure et l'imposante couronne tressée qu'elle arbore. Elle est la plus ancienne version connue d'une série de statues féminines coiffées du calathos et figurant la "Grande Déesse", principale divinité de Chypre au 1er millénaire. 🌼 Richement parée, elle est coiffée d'une couronne végétale (ou calathos) et serre une fleur sur sa poitrine, suivant un modèle iconographique local, se situant à la croisée des traditions grecques archaïques et orientales. J.-C., représente, selon toutes vraisemblances, la "Grande Déesse" de Chypre. ✨ Connue sous l'appellation de "Dame de Trikomo", cette statue, datée du milieu du 6e siècle av. 🇫🇷 Inspectons les œuvres du musée avec #LouvreALaLoupe ! Aujourd’hui, intéressons-nous à cette sculpture du département des #AntiquitésOrientales. 📸 © RMN - Grand Palais (Musée du Louvre) / René-Gabriel Ojéda After this one-year stay he brought back memories of picturesque oriental motifs which gave his career a new impetus. At the end of 1827, Alexandre-Gabriel Descamps went to Turkey.
🎨 This incidental moment of Turkish daily life is, for the painter, a means of achieving very dynamic effects. The less fortunate are thrown to the ground or stagger under the unleashed force of their comrades. 🏃 Some children escape from the whirlwind, to the left, others run towards a low wall, climbing it. 🚪 In this painting, Leaving the Turkish School (circa 1841), the students rush through a door that is too narrow for their eagerness. 🌍 The students of the Turkish School wish you a #GoodWeek! ☺
Après ce séjour d’un an, il rapporte des souvenirs inoubliables de motifs orientaux pittoresques qui donnent à sa carrière une nouvelle impulsion. A la fin de l’année 1827, Alexandre-Gabriel Descamps part en Turquie. 🎨 Ce moment accessoire de la vie quotidienne turque est, pour le peintre, un prétexte à des effets très dynamiques. Les moins chanceux sont projetés à terre ou chancellent sous la poussée déchainée de leurs camarades. 🏃 Quelques enfants s’échappent du tourbillon, à gauche, d’autres courent, à droite, vers un muret, comme pour sauter. 🚪 Dans ce tableau, Sortie de l'école turque (vers 1841), les élèves surgissent brusquement de l’intérieur, tous en même temps, à travers une porte trop étroite pour leur empressement. 🇫🇷 Les élèves de l'école turque vous souhaitent une
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